Les accomplissements relatés dans ce Rapport annuel 2010-2011 témoignent encore une fois de la solide équipe qu’est le CSDCCS.

Je suis particulièrement fier des progrès que nous avons réalisés afin de fournir à notre Conseil les structures et les mécanismes qui assureront sa réussite et son développement à long terme :

• Élaboration d’un cadre de leadership pédagogique des directions d’école, qui assurera le développement d’une relève compétente, capable de mobiliser son personnel pour la réussite de chaque élève à la hauteur de ses capacités;
• Affirmation du mandat de l’école catholique de langue française dans la transmission et la promotion de la foi catholique et de la langue française;
• Élaboration du Plan stratégique 2011-2015;
• Acquisition de nouvelles propriétés et de mesures éco-énergétiques qui nous permettent de fournir à nos communautés des installations scolaires modernes, à la fine pointe de la technologie et respectueuses de l’environnement où il fait bon apprendre et grandir.

Ces succès et ces accomplissements sont le fruit d’un travail d’équipe. La contribution et la collaboration de tous les membres du personnel des écoles et des services, avec la complicité des parents et l’appui de la communauté, jouent un rôle essentiel dans l’atteinte de nos objectifs pour le bénéfice des élèves.

Ensemble, nous construisons l’avenir. Ensemble, nous posons les pierres sur lesquelles nous édifions un réseau solide d’écoles catholiques de langue française, des écoles bâties sur le roc, qui résisteront au temps et formeront des générations de citoyens responsables, fiers de leur langue et forts de leur foi.

Merci de faire partie, avec nous, de cette équipe gagnante qui construit sur le roc.

Le directeur de l’éducation,

Rejean Sirois

La spiritualité fait partie intégrante de la vie humaine et touche toutes ses facettes. À l’école catholique, les élèves font non seulement le plein de connaissances sur la foi, mais ils ont aussi la chance d’évoluer au sein d’un milieu qui favorise leur attachement à cet héritage spirituel.

Toussaint, Sainte-Catherine, Noël, Pâques… toute l’année scolaire est ponctuée des fêtes et traditions de la foi catholique. Sans compter les joies et les peines que chaque jour apporte et fournissent aux élèves mille et une occasion de se recueillir, de se réconcilier, de célébrer ensemble et ainsi, d’agir en cohérence avec les valeurs chrétiennes et les enseignements reçus.

La création d’un tel milieu serait impossible sans l’engagement du personnel de l’école, avec l’appui des parents et en collaboration avec la paroisse. Chaque membre du personnel est en effet appelé à être un modèle de foi auprès des élèves et joue un rôle important dans la transmission de cet héritage.

Afin de fournir un appui supplémentaire au personnel dans le développement de leur compétence à œuvrer dans un milieu catholique et d’assurer une intégration plus naturelle de la foi catholique dans toutes les sphères de la vie scolaire, les animateurs et animatrices pastorales visitent les écoles élémentaires chaque mois depuis septembre 2010. Un plus grand nombre d’élèves et de membres du personnel peuvent maintenant bénéficier des connaissances et du savoir-faire de l’équipe d’animation pastorale du Conseil.

La complicité tissée entre les élèves, le personnel de l’école et leur animatrice ou animateur de pastorale suscite des échanges enrichissants. Des projets entre les écoles élémentaires et leur école secondaire ont été mis en branle, ce qui contribue à assurer la relève des comités d’action pastorale. Les élèves de l’élémentaire qui ont collaboré à des projets pastoraux s’engagent en effet plus spontanément à leur arrivée au secondaire. La moisson s’annonce abondante et les ouvriers, plus nombreux!

• Élaboration d’un guide contenant des stratégies de surveillance à l’école afin d’avoir une supervision proactive dans les lieux qui nécessitent de la surveillance. Une présentation a aussi été fournie aux directions d’école pour la formation de leur personnel.
• Distribution de la trousse « Ma cour, un monde de plaisirs » à huit écoles pilotes pour les aider à structurer les jeux pendant les périodes de récréation et ainsi diminuer les incidents d’intimidation et de violence.
• Formation annuelle du personnel pour le renouvellement de la certification en intervention en situation de crise.
• Formation des administrateurs scolaires et des intervenants des Services à l’élève sur le modèle provincial des protocoles et rencontres avec les corps policiers locaux en vue du renouvellement des protocoles d’entente pour tout le territoire du CSDCCS.
• Certification des directions et directions-adjointes d’école par le Canadian Safe Schools Network (Safe Schools Certification Institute Part II).

• Sondages sur le climat scolaire auprès des élèves, des parents et du personnel ainsi qu’un gabarit de comptabilisation des données accessible à toutes les écoles.
• Formation et accompagnement des équipes d’action sur la sécurité dans les écoles (EASE) dont le mandat est d’analyser les sondages sur le climat scolaire. Les résultats de cette compilation permettent de mettre en œuvre un plan d’action visant à enlever les barrières qui empêchent les élèves d’apprendre en toute sécurité.
• Intégration du programme d’intervention de SNAP dans les régions de Niagara et de Toronto afin d’outiller les élèves à trouver des stratégies gagnantes devant les frustrations qui déclenchent des comportements négatifs.
• Achat de ressources et de livres pour les écoles et les intervenants des Services à l’élève afin d’intégrer dans les programmes scolaires les sujets traitant de l’intimidation, du rejet, de l’exclusion, du racisme et autres.

• Participation au Réseau francophone provincial sur l’équité et l’éducation inclusive
• Collaboration avec le Centre Ontarien de prévention d’agressions (COPA) et d’autres organismes pour l’animation d’ateliers dans nos écoles
• Participation au Consortium catholique provincial
• Participation au colloque sur l’équité et l’éducation inclusive animé par COPA
• Formation sur la nouvelle politique de l’équité et de l’éducation inclusive.

Cent-soixante et une journées d’animation culturelle ont été offertes dans les écoles élémentaires en 2010-2011. Objectif : développer le vocabulaire ludique des élèves afin qu’ils découvrent le plaisir de s’amuser en français et développent leur habileté à le faire à travers des ateliers variés :

• Création de marionnettes (1^re à 3^e année)
• Jeux, comptines et chansons pour animer la cour d’école (1^re à 4^e année)
• Mini-camp de leadership (5^e et 6^e années)
• Initiation à l’improvisation (4^e, 5^e et 6^e années)
• Kin-ball
• Formation pour les conseils d’élèves

Le pourcentage d’élèves qui rapportent parler toujours ou souvent français à l’école a augmenté de 14 % depuis l’an dernier chez les 6^e années.

Les sorties éducatives sont des occasions à ne pas manquer pour faire comprendre aux élèves qu’il est possible – et amusant – de vivre en français dans un milieu majoritairement anglophone et ce, même en dehors des murs de l’école.

31 % des élèves du CSDCCS ont une autre langue que le français comme langue première.

Le 31 mars dernier, quelque 1000 élèves du CSDCCS ont vécu une telle expérience. Ils se sont rassemblés au Ricoh Coliseum qu’ils ont fait vibrer lors d’un match des Marlies co-animé en français par l’un de leurs camarades. De l’hymne national par la chorale de Sainte-Marie Oakville, à la mise au jeu en passant par la présentation du drapeau canadien, les élèves du CSDCCS ont été en vedette tout au long de la partie. C’était non seulement une excellente vitrine pour le CSDCCS et ses élèves, mais aussi une forte démonstration du plaisir et de la fierté qu’on peut retirer en affirmant publiquement son identité francophone. Sans compter que l’événement a permis d’amasser plus de 3 000$ pour le projet de construction d’une école catholique en Haïti!

De nouveau en avril 2011, Christian Pilon, voyageur métis extraordinaire et participant à la série télévisée Destination Nor’Ouest, a présenté sa conférence dans les huit écoles secondaires du CSDCCS. Une formation aux enseignants des cours d’histoire de 10^e année a précédé sa tournée afin de leur permettre de préparer les élèves à cette conférence. De plus, toutes les écoles secondaires ont maintenant une copie DVD du documentaire Le peuple invisible de Richard Desjardins et Robert Monderie et deux titres de la série «double perspective» de Scholastic : Les premières nations et Les Métis. Les écoles ont aussi mis en œuvre des initiatives en lien avec l’éducation des Premières nations, des Métis et des Inuits, dont un voyage éducatif à Wendake ou encore la participation d’un groupe au Festival national des autochtones qui a eu lieu au Copps Coliseum de Hamilton en novembre 2010.

Au CSDCCS, 47 élèves s’auto-identifient autochtones.

La réputation du CSDCCS quant à l’excellence académique n’est plus à faire. En effet, voilà déjà cinq ans que la cible du Ministère de 75 % aux tests de 6^e année a été atteinte en écriture et mathématiques, et depuis quatre ans en lecture. Et la tradition se poursuit : en 2011, les élèves du CSDCCS ont été encore plus nombreux à atteindre la norme provinciale aux épreuves de l’OQRE.

À souligner :

• les résultats des élèves au palier élémentaire sont en hausse constante depuis 5 ans. Les résultats en lecture 3^e et 6^e année sont jusqu’à 15 % supérieurs à ceux de 2006-2007;
• en l’espace d’une année seulement, le nombre d’élèves qui atteignent ou surpassent la norme provinciale en écriture 3^e et 6^e et en mathématiques 3^e a augmenté de 4 %;
• le taux d’élèves qui atteignent ou dépassent les normes provinciales en écriture tant en 3^e qu’en 6^e année est plus élevé que jamais avec 84 % et 83 %, respectivement.
• Les élèves de 9^e année ayant des besoins particuliers inscrits au cours de mathématiques appliqué ont obtenu un taux de réussite supérieur à la moyenne du Conseil.

Appuyée sur la conviction que chaque élève peut réussir, la vision du CSDCCS se concrétise à travers une série d’initiatives à tous les niveaux d’intervention.

Au niveau du Conseil

• Création de communautés d’apprentissage professionnelles : les écoles sont regroupées en une dizaine de carrefours de deux à quatre écoles, selon le domaine et le cycle qui représentent un plus grand défi au niveau du rendement des élèves. Ces rencontres permettent d’accroître la capacité du personnel enseignant à mettre en œuvre les stratégies qui répondent le plus efficacement aux besoins des élèves, le tout en s’appuyant sur les travaux de ces derniers et en utilisant l’enquête collaborative. Ceci est le mode perfectionnement pédagogique adopté par le CSDCCS.
• Appui soutenu aux écoles à rendement plus faible de la part d’une équipe pédagogique du Conseil et accompagnement personnalisé du nouveau personnel enseignant par des enseignants d’expérience en salle de classe grâce au programme Enseignants-accompagnateurs.
• Élaboration d’un cadre de développement du leadership pédagogique des directions d’école

Au niveau des écoles

Mise sur pied de programmes de tutorat en dehors des heures de classe dans les écoles à plus faible rendement afin d’offrir un appui additionnel aux élèves moins performants. Le programme de tutorat peut prendre plusieurs formes, par exemple : appui aux devoirs, appui en lecture, clubs de numératie pendant la période du dîner.

Analyse approfondie des données sur la performance des élèves par la direction et le personnel enseignant de manière à identifier les élèves en grand besoin, de prédire leur rendement et de se fixer des cibles d’amélioration de manière à suivre de près leur progrès et à intervenir efficacement auprès d’eux. Ceci se fait, à l’aide, notamment, du programme Destination Littératie + qui permet d’évaluer régulièrement le niveau de rendement des élèves grâce à l’outil diagnostique GB+.

Multiplier les voies d’accès à l’apprentissage

Le CSDCCS est également très fier des résultats obtenus par ses élèves ayant des besoins particuliers. En 3^e année, nos élèves ayant des besoins particuliers ont dépassé les résultats de la province en lecture de 5 %. En 6^e année, nos élèves ayant des besoins particuliers ont égalé les résultats de la province en lecture et les ont surpassés de 4 % en mathématiques. Ces résultats peuvent être attribués aux initiatives suivantes :

Aux élèves qui ne peuvent suivre les programmes scolaires réguliers, le CSDCCS offre des alternatives :

• Les élèves francophones qui doivent s’absenter de l’école pour cause de maladie peuvent maintenant poursuivre leurs études en français pendant leur séjour à l’hôpital pour enfants Sick Kids de Toronto. Le CSDCCS y a ouvert en septembre 2010 un centre de traitement et de soins (Section 23) pour les élèves hospitalisés. Au cours de l’année scolaire 2010-2011, une quinzaine d’élèves de partout en province ont bénéficié de ce service, en groupes de sept en moyenne.
• Les élèves suspendus plus de dix jours, quant à eux, sont scolarisés à l’extérieur de l’école. Des enseignants les rencontrent dans des lieux publics tels que des centres de santé, YMCA, bibliothèques municipales ou autres agences partenaires.
• Depuis l’an dernier, ces élèves rencontrent également une travailleuse sociale à raison de deux à trois fois par semaine. Ces interventions individuelles visent la réintégration à l'école de l'élève dont le comportement a affecté le climat scolaire et créé un bris de confiance entre lui, les enseignants, les parents et les pairs.
• Le CSDCCS offre également la possibilité d’un placement dans une classe distincte, soit la Classe de préparation à la vie (CPV). Ce placement est réservé aux élèves ayant un trouble du spectre autistique, une déficience intellectuelle ou un handicap de développement. Ces classes ont un maximum d’élèves selon les profils des élèves inscrits, conformément à la Loi sur l’Éducation, et ont le mandat de répondre aux besoins très spécifiques des élèves en mettant l’emphase sur les concepts de base, le développement social et la préparation à la vie. Une nouvelle classe de préparation à la vie a été créée à l’École secondaire catholique Mgr-de-Charbonnel en septembre 2010.
• Par ailleurs, La Passerelle, centre de traitement de jour en santé mentale pour les 6-12 ans, est en opération depuis maintenant 6 ans.

Aux anges dès la petite enfance

Le CSDCCS offre la maternelle et le jardin à temps plein aux élèves de 4 et 5 ans dans toutes ses écoles depuis plus de 13 ans et ce, gratuitement. En 2011-2012, plus de 2 527 élèves sont inscrits en maternelle ou au jardin à temps plein chez nous. De ceux-là, 513 prennent part au Programme d’apprentissage des jeunes enfants du gouvernement de l’Ontario dans l’une ou l’autre des sept écoles sélectionnées pour les deux premières années de mise en œuvre :

Depuis 2010 :

• École élémentaire catholique Jean-Paul II (Whitby);
• École élémentaire catholique Frère-André (Barrie);
• École élémentaire catholique Notre-Dame (Hamilton);
• École élémentaire catholique Cardinal-Léger (Kitchener);
• École élémentaire catholique Immaculée-Conception (St. Catharines)

Depuis 2011 :

• École élémentaire catholique Ste-Marguerite-Bourgeoys (Markham)
• École élémentaire catholique St-René-Goupil (Guelph)

Le CSDCCS est fier de compter sur un réseau de services de garde partenaires dans 40 de ses 41 écoles élémentaires.

En septembre 2010, les élèves des écoles catholiques Jean-Vanier (Welland) et Saint-Nicolas (Milton) franchissaient pour la première fois les portes de leur nouvelle école. Par la même occasion, le CSDCCS franchissait un pas de plus vers l’acquisition d’installations scolaires permanentes modernes et propices à l’apprentissage pour l’ensemble de ses communautés.

Accueil et accompagnement des élèves et de leur famille

Conformément à la l’énoncé de politique L’admission, l’accueil et l’accompagnement des élèves dans les écoles de langue française de l’Ontario : énoncé de politique et directives, le CSDCCS a adopté en avril 2011 la directive administrative ÉLV 1.4 Accueil et accompagnement qui vise à favoriser l’intégration réussie des nouvelles familles. Ainsi, depuis septembre dernier, chaque école doit mettre en œuvre un plan d’accueil des élèves et de leur famille.

Nouveauté pour les familles qui s’installent dans les régions de Peel et de Halton : le CSDCCS offre maintenant des services d’accueil et d’accompagnement des nouveaux arrivants, grâce à l’appui financier de Citoyenneté et Immigration Canada. Ainsi, une équipe de travailleurs en établissement offre des ateliers de formation et est disponible pour répondre aux questions des parents et les accompagner vers une intégration réussie au Canada et au sein de la communauté scolaire de leurs enfants.

Le taux de satisfaction des parents quant à l’accueil s’établit maintenant à 90%, une hausse de 4% par rapport à l’année dernière.

Un indice d’une intégration réussie est la participation active des parents à l’école de leur enfant, laquelle a également un impact positif sur le rendement scolaire de ces derniers. Les écoles font donc appel régulièrement à la contribution des parents et ce, dans des domaines très variés. Grâce à l’obtention de subventions pour la participation et l’engagement des parents, plusieurs écoles ont mis sur pied des projets dont les instigateurs étaient souvent les parents eux-mêmes, à travers le conseil d’école, par exemple. Les projets touchaient les priorités du Conseil : littératie et/ou numératie, prévention de l’intimidation, rendement des élèves, écoles saines, etc. Le Comité de participation des parents a, pour sa part, élaboré ses statuts et règlements et a fait une demande de subvention pour pouvoir réaliser un projet régional en 2011-2012.

Pour plus d’histoires à succès de nos écoles et nos élèves, lisez ou relisez les trois numéros de la revue Notre vie publiés en 2010-2011.

Fidèle à ses habitudes, le Conseil scolaire de district catholique Centre-Sud a adopté, en juin 2010, un budget équilibré de près de 170 millions de dollars pour l’année scolaire 2010-2011 et ce, malgré les coupures budgétaires annoncées par le gouvernement et la perte de 1,1 million de dollars due à la réduction des subventions reliées aux écoles éloignées et à l’entretien des installations scolaires.

Tout en respectant les exigences du Ministère relatives à la taille des classes, à la mise en œuvre du Programme d’apprentissage des jeunes enfants (PAJE), du programme d’appui aux nouveaux arrivants (PANA), de l’actualisation linguistique du français (ALF) et du programme axé sur la réussite des élèves (PARÉ), le budget 2010-2011 a rendu possible, notamment :

• La mise en œuvre du cadre pour l’efficacité des écoles;
• Les initiatives de tutorat dans le cadre du Partenariat d’interventions ciblées de l’Ontario (PICO);
• Le développement de nouveaux programmes de Majeure Haute Spécialisation (MHS);
• L’augmentation du budget pour les carrefours qui regroupent nos écoles en communautés d’apprentissage professionnelles;
• La hausse du budget pour la mise en œuvre du programme Destination Littératie +;
• Le maintien du programme enseignant-accompagnateur, une stratégie gagnante qui a un impact direct sur le rendement scolaire des élèves;
• Le démarrage d’un nouveau service de garde à l’École élémentaire catholique Saint-Joseph de Port Colborne.

De plus, afin d’offrir un service de qualité répondant aux besoins de sa clientèle, le CSDCCS a alloué des budgets de près de 18 M $ à l’enfance en difficulté et de plus de 18,5 M $ au transport scolaire, ce qui excède de plus de 1 M $ le financement accordé par le ministère de l’Éducation pour ces deux domaines.

En 2010-2011, les conseillères et conseillers scolaires ont multiplié les rencontres avec les élus des différents paliers gouvernementaux afin de les sensibiliser aux besoins de nos communautés, d’obtenir le financement nécessaire pour y répondre adéquatement et de faciliter les processus de délivrance des permis requis.

Leurs efforts ont porté fruits. Le 15 juin 2011, le ministère de l’Éducation annonçait l’octroi au CSDCCS de financement pour la réalisation des projets suivants :

• Agrandissement de l’ÉÉC Georges-Étienne-Cartier (Toronto);
• Agrandissement de l’ÉÉC Sainte-Marguerite-Bourgeoy (Brantford);
• Nouvelle école élémentaire catholique à Etobicoke;
• Nouvelle école catholique à Stouffville (M-12);
• Agrandissement de l’École élémentaire catholique Sainte-Marguerite-Bourgeoys (Markham), lequel a été achevé en septembre de la même année.