Après avoir connu une hausse marquée des résultats de ses élèves aux tests provinciaux de l’OQRE au cours des cinq dernières années, le CSDCCS à été couronné en 2009 numéro un dans la grande région de Toronto selon l’Institut Fraser.
Ce succès resplendissant, qui a été rendu possible grâce à la contribution exceptionnelle de parents dévoués et de membres du personnel activement engagés, prend aussi racine dans un éventail d’initiatives ayant été mises en place par le Conseil.
Forts de l’héritage du passé, nous sommes appelés à poursuivre une œuvre extraordinaire, soit celle de remplir chaque jour notre promesse d’offrir une éducation catholique de langue française de qualité à tous nos élèves.
Je tiens à remercier tout particulièrement mon prédécesseur, monsieur Bernard Lavallée, qui a servi le CSDCCS pendant ces cinq dernières années.
Parents, élèves, membres du personnel et de la communauté : merci de faire partie de « notre monde » et de le faire rayonner avec autant de fierté. N’oublions jamais que c’est ensemble que nous permettons à chaque élève de se tailler un avenir prometteur, à la mesure de ses aptitudes et de ses rêves.
Le directeur de l’éducation,
Réjean Sirois
« Le Royaume de Dieu est comme un grain de moutarde.
C’est la plus petite de toutes les semences, mais quand elle a poussé,
elle est la plus grande de toutes les plantes du jardin,
si bien que les oiseaux viennent y faire leur nid. »
(D’après Mt 13, 31-32)
Pour que les élèves puissent approfondir leur foi catholique et devenir des leaders chrétiens dans leur milieu, il faut qu’ils soient entourés d’adultes qui sont des modèles significatifs pour eux. Voilà pourquoi le Conseil scolaire de district catholique Centre-Sud vise à développer la capacité de son personnel à œuvrer dans un milieu scolaire catholique.
68% du personnel enseignant à l’élémentaire estime détenir les connaissances et les compétences essentielles pour œuvrer dans un milieu catholique.
Chez le personnel enseignant du palier secondaire, ce taux se situe à 47%. Cette différence peut s’expliquer notamment par le fait que les membres du personnel enseignant au palier secondaire, qui sont déjà spécialisés dans la matière enseignée, sont moins nombreux à détenir une qualification additionnelle en enseignement religieux – 29 au palier secondaire contre 225 à l’élémentaire. Également, la complexité des questions soulevées par les élèves du secondaire peut contribuer à ce que les enseignants se sentent plus démunis pour les guider. Le CSDCCS doit donc redoubler d’efforts pour aider les membres du personnel à développer leur propre façon de communiquer leur foi à leurs élèves.
Pour ce faire, le Service des programmes de construction identitaire continue d’offrir des retraites au personnel alors que le Service de la programmation de la petite enfance à l’âge adulte offre chaque année gratuitement les trois cours de qualification additionnelle en enseignement religieux à de nouveaux groupes de près de 30 enseignants.
Ce dernier offrira également cette année des journées de développement professionnel au niveau secondaire afin d’aider les enseignants à faire des liens entre la vie de tous les jours et les enseignements de l’Église.
Les élèves participent volontairement aux activités pastorales dans une proportion élevée à l’élémentaire. Quatre-vingt quatorze pourcent des élèves de 6e année sont intéressés à participer aux activités à caractère religieux. Cependant, cette proportion tend à diminuer avec le temps : elle passe à 86 % en 9e année et à 73% en 12e année.
94 % des élèves de 6e année sont intéressés à participer aux activités à caractère religieux
L’adolescence est une période de transition durant laquelle le besoin de s’affirmer peut s’exprimer par une prise de distance vis-à-vis l’éducation et les valeurs transmises. Il n’est donc pas étonnant que la proportion d’élèves se disant très intéressés à participer aux activités pastorales diminue avec l’âge. C’est souvent à l’âge adulte que les individus se réconcilient avec leur héritage spirituel et découvrent la profondeur des racines de leur foi. Ceci se manifeste notamment par le nombre toujours grandissant d’anciens élèves qui choisissent l’école catholique parce qu’ils désirent transmettre cet héritage à leurs enfants.
Les camps de leadership chrétien, quant à eux, continuent de gagner en popularité auprès des élèves du secondaire. Les élèves sont aussi très nombreux à s’engager dans les comités d’action pastorale de leur école. Afin d’offrir des activités adaptées aux intérêts des élèves, les intervenants en animation pastorale sont attentifs aux besoins exprimés par les jeunes et les appuient dans la mise en œuvre de leurs idées.
« J’ai toujours été très engagée dans ma communauté et, à la fin de mes études, j’ai cherché une façon de servir mes frères humains de façon plus radicale et concrète. J’ai ressenti que Dieu m’appelait à Le servir à l’étranger et c’est pour cela qu’en juin 2008, j’ai travaillé auprès de 261 orphelins au Centre Isubilo en Zambie. Mon travail là-bas m’a permis de mettre mes talents au service des jeunes endeuillés du SIDA par des ateliers de théâtre. N’oublions pas que Dieu a une mission pour chacun de nous, une mission qui dépasse notre compréhension, et qu’il suffit d’être à l’écoute pour la découvrir et réaliser de grandes choses. »
Marielle Gédéon, Ancienne élève de l’ÉÉC Sainte-Madeleine et de l’ÉSC Monseigneur-de-Charbonnel (Toronto)
Titulaire d’un Baccalauréat en Art avec spécialisation en marketing de l’Université York (2008)
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Le Conseil scolaire de district catholique Centre-Sud a de nouveau été reconnu comme un pionnier en construction identitaire en 2008-2009. Réseau Ontario a en effet décerné le Prix Vision-Innovation à l’équipe d’animation culturelle du CSDCCS en reconnaissance pour sa vision artistique forte et ses actions innovatrices en matière de diffusion et de développement de marchés. Le CSDCCS a également organisé la première édition de Vision’art, le festival franco-ontarien d’arts visuels en milieu scolaire.
Ce leadership a pour effet de démontrer aux élèves que même si cela demande beaucoup de détermination, il est possible de vivre en français en Ontario. Cela est d’autant plus important que 31 % des élèves du CSDCCS ont une autre langue que le français comme langue première et que seulement 37 % d’entre eux rapportent participer toujours ou souvent à des activités en français à l’extérieur de l’école. Pour beaucoup d’entre eux, l’école est donc l’espace francophone par excellence où peut se développer leur attachement à la langue française et à la culture francophone.
L’école est pour beaucoup de nos élèves l’espace francophone par excellence où peut se développer leur attachement à la langue française et à la culture francophone.
Les élèves rapportent toujours ou souvent parler français à l’école, que ce soit en classe ou à l’extérieur de la classe, dans une proportion de 61 % en 6e année. Les cibles ont également été dépassées chez les élèves de 9e et de 12e année.
31% des élèves du CSDCCS ont une autre langue que le français comme langue première.
La proportion d’élèves qui participent toujours ou souvent à des activités qui se déroulent en français à l’extérieur de l’école se situe à 37% en 6e année.
Afin de multiplier pour ses élèves les occasions de vivre en français, le CSDCCS :
Quant au personnel, tous les groupes estiment, dans une proportion de 83% et plus, détenir les connaissances et les compétences requises pour œuvrer en milieu minoritaire. Toutes les cibles ont donc été dépassées.
95% du personnel de soutien au palier secondaire estime détenir les connaissances et les compétences essentielles pour œuvrer en milieu minoritaire.
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La tradition d’excellence du CSDCCS se poursuit!
Les résultats aux tests de l’OQRE ont augmenté ou se sont maintenus dans toutes les épreuves. Mentionnons spécialement l’augmentation spectaculaire de 18% au test appliqué et de 13% au test théorique de 9e année en mathématiques.
Le CSDCCS a atteint la cible du Ministère, soit la réussite de 75% aux tests de l’OQRE en lecture, écriture et mathématiques de 6e année en 2008. Les résultats des élèves du CSDCCS à ces tests sont supérieurs ou égaux à la cible depuis 2006 en écriture et mathématiques.
Ces résultats sont attribuables au travail acharné du personnel enseignant et aux stratégies développées par le Conseil pour les accompagner dans le développement de leurs compétences, notamment :
Et comme l’expriment si bien nos élèves, fréquenter une école catholique de langue française du CSDCCS, c’est apprendre au sein d’«une grande famille dans une petite école». Avec 92% des classes de la maternelle à la 3e année qui comptent 20 élèves et moins, le personnel enseignant est en mesure d’offrir un accompagnement personnalisé à chaque élève.
Par ailleurs, la cible du ministère de l’Éducation pour le taux d’obtention du diplôme, qui est de 85 % en 2010, a été dépassée depuis plusieurs années déjà. En juin 2009, 88 % des élèves de 12e année ont quitté le CSDCCS avec leur diplôme d’études secondaires en main.
Le CSDCCS accorde autant de ressources aux élèves qui ne peuvent suivre les programmes scolaires normaux. Ainsi, La Passerelle, centre de traitement de jour en santé mentale pour les 6-12 ans, est en opération depuis déjà 4 années. Les élèves suspendus, quant à eux, sont scolarisés à l’extérieur de l’école. Des enseignants les rencontrent dans des lieux publiques.
86,5% des élèves en 2e année d’études secondaires avaient obtenu au moins 16 crédits au 30 juin 2009.
Communiqués :
Le CSDCCS continue de grandir.
En octobre 2009, les effectifs étaient de 13 301 élèves, soit une augmentation de 2,4 % par rapport à l’année précédente. De plus, toutes les cibles de rétention des élèves ont été atteintes à l’exception du groupe des 11e-12e années, qui a connu une légère baisse.
Le saviez-vous ? Soixante élèves du CSDCCS s’identifient autochtones.
Le Conseil scolaire de district catholique Centre-Sud est non seulement une organisation en croissance, c’est aussi un partenaire important dans le développement de communautés dynamiques dans chacune des régions de notre territoire.
Le CSDCCS est donc soucieux de mettre en place des pratiques facilitant l’accueil, la communication et la collaboration avec ses clientèles autant interne qu’externe.
Le taux de satisfaction des parents quant à l’accueil a atteint 85 % en 2009.
En 2009, le taux de satisfaction des parents a atteint 85% quant à l’accueil et 76 % par rapport à la communication. Les taux de rétention des divers groupes de personnel, quant à eux, sont supérieurs à 90 %. Le CSDCCS s’engage néanmoins à faire encore mieux avec, par exemple, les projets suivants :
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Communiqués :
Lors de la séance ordinaire du Conseil du 2 juillet 2008, les conseillères et les conseillers scolaires ont adopté un budget équilibré de 150 M $ pour l’année scolaire 2008-2009.
Ce budget a permis notamment :
De plus, afin d’offrir un service de qualité répondant aux besoins de sa clientèle, le CSDCCS a alloué des budgets de près de 14 M $ à l’enfance en difficulté et de plus de 17 M $ au transport scolaire, ce qui excède de près de 2 M $ les subventions allouées par le ministère de l’Éducation pour ces deux domaines.
Ils sont douze, provenant de toutes les régions de notre vaste territoire, à collaborer ensemble afin de défendre les intérêts des élèves et de veiller à la bonne gouvernance de notre système d’éducation catholique de langue française. Ils sont appuyés par deux élèves conseillères, qui représentent les élèves du secondaire à la table du Conseil. À votre service :
Yves Lévesque
Président
Téléphone : 1-866-993-9675
Melinda Chartrand
Vice-présidente
Téléphone : 905-682-5500
Nicolas Ayuen
Téléphone : 905-564-1404
Nathalie Dufour-Séguin
Téléphone : 416-780-9405
Dominique Janssens
Téléphone : 1-877-656-1144
Cindy Labas
Téléphone : 705-737-5455
Olga Lambert
Téléphone : 905-683-1993
Adrien Lamoureux
Téléphone : 613-398-3201
Claude Légère
Téléphone : 416-397-6470
Marcel Levesque
Téléphone : 905-383-1980
Dorothée Petit-Pas
Téléphone : 519-750-1277
Région de Welland
Carole Racette
Téléphone : 1-877-838-5044
Nicolette Addesa
Élève conseillère
Téléphone : 416-782-5231
Amy Iliza
Élève conseillère
Téléphone : 905-385-2955
Communiqués :
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Un matin, j’ai croisé une élève qui m’a dit : «Madame, j’ai hâte à la messe!» Cette phrase était rafraîchissante, car ce que j’entendais le plus souvent était plutôt le contraire.
Pourquoi m’a-t-elle dit cela? Peut-être parce qu’elle s’est impliquée lors de la messe et de la paraliturgie à l’Action de Grâces. Elle a chanté avec d’autres jeunes et les chansons étaient dynamiques et belles. Lors de nos pratiques avec d’autres professeurs, les jeunes proposaient des idées de gestes à faire pendant les chants et ont même demandé de pouvoir chanter sur la scène. Impliquer les élèves et le personnel dans la préparation et pendant les célébrations, être à l’écoute des commentaires et des suggestions, je crois que c’est là la clé pour rendre significatives les liturgies ou tout autre activité en lien avec la pastorale et l’engagement.
Nancy Johnson, animatrice de pastorale, École secondaire catholique Père-René-de-Galinée (Cambridge)
Durant la cérémonie du Mercredi des Cendres, j’ai eu la chance de donner les cendres. J’ai beaucoup aimé être impliquée dans cette cérémonie puisque c’est un jour important. En tant qu’élève, j’ai senti que je jouais un rôle très significatif, car j’agissais comme un modèle pour les plus jeunes de l’école. Je leur montrais qu’il n’y a rien de mal ou de gênant à manifester sa foi devant les autres.
Alix Lachapelle, 11e année, École secondaire catholique Père-René-de-Galinée (Cambridge)
Comme enseignante, je suis témoin de l'amour de Dieu pour chacun des jeunes de mon école ainsi que pour les parents et mes collègues. C'est important que je transmette ma foi et en sois témoin afin que par mon exemple, chaque jeune peut devenir une meilleure personne. Je dois, comme enseignante, faire découvrir le lien entre leur vécu quotidien et la Parole de Jésus pour qu’ils puissent cheminer dans la dimension spirituelle de leur être.
Mylaine Rousseau, Enseignante de français, ÉSC Renaissance (Aurora)
Inscrite au cours de qualification additionnelle en enseignement religieux, partie 2
Après avoir complété mes cours de qualification additionnelle en enseignement religieux cet été, je me trouve beaucoup mieux outillé pour offrir un enseignement religieux de qualité à mes élèves, mais encore plus important, je me trouve plus confiant dans mon enseignement. Le cours m’a permis de mieux comprendre plusieurs aspects de ma religion ainsi que son histoire.
J’intègre souvent les enseignements de l’Église et les valeurs chrétiennes aux autres matières scolaires que j’enseigne, premièrement par mon exemple, en participant activement à la prière chaque matin, par l’ambiance de respect et d’amitié que j’installe dans ma salle de classe et surtout en encourageant les élèves à s’engager dans des projets humanitaires.
Sylvain Morel, Enseignant d'affaire et commerce, ÉSC St-Charles-Garnier (Whitby)
Spécialiste en enseignement religieux (Cours de qualification additionnelle en enseignement religieux complétés)
Nous parlons de Jésus-Christ. Nous apprenons à vivre dans l’amour, la prière, le respect de l’autre, l’entraide et l’écoute.
Élève de 3e année, ÉÉC Jean-Paul II (Whitby)
Les valeurs de la vie nous sont enseignées et mises en pratique à tous les jours. Notre école prend notre belle religion catholique comme un cadeau précieux et on le prend certainement au sérieux. Ici, la violence et l’intimidation ne sont pas tolérées. Notre école contribue à mettre fin à l’intimidation. Notre école sait exactement comment accueillir les élèves avec amour et chaleureusement. Toutes les races et les couleurs sont acceptées, car on est pareil aux yeux de Dieu.
Élève de 6e année, ÉÉC Jean-Paul II (Whitby)
On accepte que chaque personne est unique et j’apprends comment agir avec les autres à travers les leçons dans la Bible.
Élève de 2e année, ÉÉC Notre-Dame (Hamilton)
C’est comme être à la maison, mais avec beaucoup d’amis. Le personnel de l’école, c’est comme ma famille. C’est une grande maison où tout le monde vient jouer et apprendre plein de choses. J’aime le dimanche, car le lendemain, c’est l’école.
Élève de Jardin, ÉÉC Notre-Dame-de-la-Jeunesse (Ajax)
Non seulement l’éducation est d’un niveau très élevé, mais le respect qui est présent dans les corridors est aussi d’un niveau très élevé. Les gens, les étudiants comme les professeurs sont tous acceptés pour ce qu’ils sont et pour ce qu’ils peuvent faire. Aucune personne n’est jugée par la couleur de sa peau ou par son apparence physique. Nous sommes tous traités avec le même respect et la même gentillesse.
Élève de 8e année, ÉSC Renaissance (Aurora)
Les parents choisissent l’école catholique pour permettre à leurs enfants de grandir dans un milieu chrétien. En effet, le développement social et économique actuel favorise l’individualisme et l’égoïsme tandis que l’évolution des mentalités va de plus en plus à l’encontre de l’éthique chrétienne. De ce fait, les jeunes qui évoluent dans un milieu qui leur inculque les valeurs chrétiennes vont développer la vertu de discernement qui les aidera dans les grandes décisions de la vie.
Élève de 12e année, ÉSC Sainte-Famille (Mississauga)
L’école catholique m’apprend à être charitable et les pauvres n’ont pas de jouets, alors moi ce que je fais, je donne tous les jouets à cette compagnie qui s’appelle Salvation Army.
Élève du cycle moyen, ÉÉC Sainte-Marguerite-d’Youville (Toronto)
Les professeurs m’encouragent à aller vers les autres quand je suis gêné. Je me sens en sécurité et tout le monde dans mon école est vraiment gentil et respectueux.
Élève de 4e année, ÉÉC Saint-Nicolas (Milton)
Elle me fait sentir que j’appartiens. C’est ma famille loin de chez moi. L’endroit où je suis encouragée à m’exprimer, à apprendre et à atteindre. Merci.
Élève de 2e année, ÉÉC Saint-Philippe (Burlington)
Elle encourage l’autonomie, la curiosité et la soif du savoir. Notre école sensibilise les jeunes au bien-être de notre environnement, de notre planète. Bref, notre école forme des jeunes responsables de leur vie intellectuelle et spirituelle équilibrée pour bâtir un monde meilleur.
Élève de 6e année, ÉÉC Saint-Noël-Chabanel (Toronto)
En arrivant au Canada, mes parents nous ont choisi une école catholique française parce qu’ils sont croyants et veulent que nous grandissions mon frère et moi dans la foi, l’amour et la paix. C’est là que j’ai appris comment avoir le droit d’être moi-même et d’être heureux. Aussi, j’ai appris comment changer mon comportement pour le mieux, résoudre mes conflits pacifiquement et savoir pardonner lorsqu’il le faut. À mon école, chaque élève est unique et ne ressemble pas aux autres; on doit le respecter et l’aider à progresser.
Élève de 5e année, ÉÉC Sainte-Marguerite-d’Youville (Toronto)
Témoignages recueillis dans le cadre du concours Mon école est la meilleure et je peux le prouver!
Ici, les élèves sont entourés de professeurs avec de bons cœurs qui veulent aider les autres. Même dans un environnement anglophone, nous gardons notre fierté francophone!
Élève de 6e année, ÉÉC Jean-Paul II (Whitby)
Ici, je peux rire en français. Je vis en français, c’est une liberté que je trésor à chaque jour.
Élève de 6e année, ÉÉC Jean-Paul II (Whitby)
On est tous de différentes origines et de différentes cultures, mais nous sommes tous unis par notre religion catholique et nous parlons tous français et nous sommes tous fiers de cet héritage et de cette identité francophone. Ici, je me sens comme si je suis dans ma famille.
Élève de 10e année, ÉSC Monseigneur-de-Charbonnel (Toronto)
À mon école, parler en français c’est du plaisir et j’aimerais que tout le monde sur la planète parle en français! J’adore mon école!
ÉÉC Notre-Dame-de-la-Jeunesse (Niagara Falls)
Je suis toujours encouragé et je demeure toujours un individu, peu importe ce que je porte et comment je parle. En effet, à mon école, je n’étudie pas : je vis!
Élève de 12e année, ÉSC Nouvelle-Alliance (Barrie)
C’est où j’ai fait la plupart de mes amitiés et où j’ai préservé et amélioré mon français. C’est une bonne école, en sécurité. Une des choses que j’aime le plus de mon école est qu’elle est petite, francophone et catholique. J’aime que c’est une petite école, car tout le monde se connait et c’est bien d’être entouré par du monde qui t’aime et te respecte. J’aime que c’est catholique, car ça nous aide à nous souvenir de Jésus et qu’est-ce qu’il a fait pour nous et j’aime que c’est francophone, car ça m’aide à préserver ma langue de naissance.
Élève de 8e année, ÉÉC Sacré-Cœur (Georgetown)
Nous vivons dans une ville ou région à majorité anglophone et mon école se trouve tout près de la seule église catholique de la région. Je dirais que mon école rassemble toute la communauté francophone d’Oshawa parce que tous les enfants francophones la fréquentent et elle permet à la communauté francophone de tisser des liens solides d’amitié. Elle me permet surtout de préserver ma première langue, le Français. Je conseillerais à tous les parents francophones d’envoyer tous leurs enfants dans une école catholique de langue française.
Élève de 2e année, ÉÉC Corpus-Christi (Oshawa)
On a un cours de français pour les parents.
Élève de 5e année, ÉÉC Saint-Joseph (Port Colborne)
Témoignages recueillis dans le cadre du concours Mon école est la meilleure et je peux le prouver!
Ils demandent la participation des parents qui viennent lire en classe. Les enseignantes nous font rire et c’est un plaisir de venir à l’école!
Élève de 3e année, ÉÉC Ange-Gabriel (Mississauga)
Car je sais que tout le monde peut réaliser son rêve ici. Nos enseignantes et nos enseignants nous aident à 100% et je peux dire que j’ai des bonnes notes car ils m’ont aidé à réussir.
Élève de 6e année, ÉÉC Corpus-Christi (Oshawa)
Ici, tout le monde peut trouver son talent, peu importe combien d’efforts ça leur prend. Je m’y sens chez moi et je m’amuse toujours avec mes amis.
Élève de 6e année, ÉÉC Jean-Paul II (Whitby)
Car à mon école, tout le monde s’entraide et s’encourage.
Élève de 6e année, ÉÉC Jean-Paul II (Whitby)
On est aimable envers les autres parce qu’on aide les gens qui ont de la difficulté à apprendre. Les enseignants sont très gentils et on s’amuse en apprenant.
Élève de 6e année, ÉÉC Jean-Paul II (Whitby)
Nous sommes comme une grande famille. Tout le monde se connait et s’entraide. Quand j’avais de la difficulté à lire, on m’a aidé sans hésitation. Nous faisons beaucoup d’activités : l’éducation physique, la musique, l’écriture, la lecture, entre autres. Nous pouvons tous communiquer en français.
Élève de 1ère année, ÉÉC Le-Petit-Prince (Maple)
Les enseignants nous apprennent plein de choses. Les élèves de l’école sont très amis. Les enseignants nous font rire.
Élève de 3e année, ÉÉC Le-Petit-Prince (Maple)
À mon école, les professeurs nous encouragent à donner notre meilleur à chaque jour.
Élève de 5e année, ÉÉC Notre-Dame (Hamilton)
On est une école catholique de langue française! Et parce qu’on a toujours du plaisir à l’école. Et quand tu ne comprends pas, tu dois juste dire : «Je ne comprends pas.» Après, ils vont t’expliquer.
Élève de 4e année, ÉÉC Sacré-Cœur (Welland)
Chaque fois que tu avances d’un niveau, c’est un signe que tu grandis ici. Répondre et poser des questions, c’est facile, car ici, on se sent à l’aise.
Élève de 3e année, ÉÉC Saint-Jean-Baptiste (Mississauga)
Car nous avons les meilleurs professeurs du monde! Ils sont plus chers que l’or!
Élève de la maternelle, ÉÉC Saint-Noël-Chabanel (Toronto).
Témoignages recueillis dans le cadre du concours Mon école est la meilleure et je peux le prouver!
Elle a toujours les bras ouverts à tout moment pour vous accueillir.
Élève de 9e année, ÉSC Saint-Charles-Garnier (Whitby)
J’aime mon école. Pour moi, c’est une deuxième maison.
Élève de 3e année, ÉÉC Sainte-Marguerite-d’Youville (Toronto)
La collaboration entre l’école et les parents crée un climat de joie familiale à l’école.
Élève de 3e année, ÉÉC Le-Petit-Prince (Maple)
Moi, j’habite loin de cette école, mais j’y vais parce que c’est la meilleure et le meilleur pour mon avenir.
Élève de 9e année, ÉSC Monseigneur-de-Charbonnel (Toronto)
Témoignages recueillis dans le cadre du concours Mon école est la meilleure et je peux le prouver!